Avant d'acquérir un husky ou un malamute, il faut bien réfléchir. Devenir propiétaire d'un chien est une discision importante qui demande réflexion et doit être prise par tous les membres de la famille. Le chien n'est pas comme un jouet, que l'on met dans un coin dés que l'on ne s'y intéresse plus. Avant de foncer tête baissée dans une telle aventure, il faut être conscient de certains impératifs : Vous allez être responsable de votre chien pendant 12 à 14 ans. Ensuite, il faudra le promener 3 fois par jour (au minimum une heure par sortie), par tous les temps, assurer un entraînement sportif 3 fois par semaine, préparer sa nouriture, être disponible pour les séances de caresses et de jeux, être présent s'il tombe malade ou vieillit, ramasser ses excréments, le brosser, changer le programme des vacances etc. Enfin, il est prudent de calculer le coût de l'entretient. Ajouter les frais de vétérinaire, d'assurance, de pension, d'enclos... Une voiture spacieuse s'impose pour un husky...
Test d'Acquisition d'un husky/malamute : Avoir le respect de l'animal ; Être physiquement (motricité, pas d'allergie) et psychiquement (caractère équilibré) capable de s'en occuper; Assurer une présence au foyer, à moins de pouvoir emmener votre husky lors de vos déplacements; Être entièrement disponible pour les soins qu'il requiert ; Disposer de la base financière nécessaire pour assurer son entretient ; Avoir l'accord des autres membres de la famille, de l'éventuel propriétaire de l'appartement ou de la maison et des autres locataires ; Trouver un "second" susceptible de pouvoir s'en occuper en cas de votre absence ; Être prêt pour de longue promenades quotidiennes ; Disposer du temps nécessaire pour assurer son éducation et une activité sportive. Si vous répondez par l'affirmative à toutes ces conditions, vous pouvez être capable d'acquérir un husky. Non sportifs et promeneurs du dimanche, s'abstenir !
Ou s'adresser pour obtenir un husky ou malamute ?
N'achetez jamais un chien lors de votre prmière visite. Accordez-vous un temps de réflexion avant de vous décider. De même, il est préférable de ne pas vous faire accompagner dans un premier temps avec vos enfants. Restez lucide !
- La S.P.A. (Société Protectrice des Animaux) :
Dans les nombreux refuges de la S.P.A. de la France, vous trouverez un certain nombre de races de chiens diffèrentes dont des huskies ou encore des malamutes. Vous ferez non seulement une bonne action mais permettrez ainsi de freiner la surproduction de certaines races canines.
Pour l'adoption d'un chiot husky pris à 7 semaines ne posera pas plus de problèmes qu'un chiot d'élevage. Il faut toujours se renseigner sur la cause de l'abandon (ex: porté indésirable), sur ses parents, sur son âge à l'arrivée au chenil et sur la durée d'internement.
Pour l'adoption d'un husky adulte, il est très important de savoir son passé. Certains ont été maltraités et sont devenus très peureux ou agressifs. Ces chiens ne conviennent qu'à des personnes expérimentées. Mais la plupart se sont retrouvés à la S.P.A. car ils ne convenaient pas au mode de vie de leur propriétaires. D'autres se retrouvent également dans les refuges pour cause de décès, de divorse, de mutation, de déménagement ou par manque d'argent.
Abandon et changement de maître provoquent un traumatisme dont l'intensité dépend de l'âge, du caractère et des expériences de l'animal. Avant de choisir définitivement votre animal, demandez la permission de le sortir du chenil et isolez-vous, parlez-lui, encouragez-le à venir vers vous, faites une courte promenade. Lors de l'adoption d'un chien, la S.P.A demande une carte d'identité, attestation de domicile, participation de frais aux tatouages et de vaccinations puis signature d'un contrat que vous allez prendre soin de l'animal adopté.
- Les éleveurs :
Pour l'adption d'un husky, on s'adresse habituellement à la Société Centrale Canine (S.C.C.). La Banque d'Informations vous communique les coordonées du club race (le Sibérien Husky France (S.H.F.)) et la liste des portées disponibles dans votre département. La S.C.C. est un organisme qui cherche à orienter les acheteurs vers les meilleurs élevages. Malheureusement, elle ne peut pas contrôler tous les élevages et les surprises sont parfois de taille. Pour distinguer un éleveur sérieux, voici quelques conseils : Visitez et comparez plusieurs élevages, en priorité ceux dirigés par des éleveurs qui font travailler leurs chiens. Préférez les petits élevages familiaux et amateurs aux "professionnels", plus grand, qui cherchent à vivre de leur production : Les premiers consacrent plus de temps à leurs chiots, favorisant une meilleure socialisation. Evitez les élevages qui produisent plus de deux races. Vérifiez la propeté des locaux (chenils) utilisés pour l'élevage : Si l'éleveur refuse de vous faire visiter, repartez ! Les chiens ne doivent pas être tenus en masse, jetez un oeuil sur l'état de santé de tous les chiens : Si l'éleveur garde de vielles chiennes qui ne peuvent plus reproduir, c'est très bon signe ! Si vous décidez pour un élevage, rendez visite à la portée pour suivre son évolution. Vérifiez que l'éleveur a pensé à leur donner des jouets et que les chiots ont la possibilité de découvrir le monde extérieur. L'éleveur sérieux cherchera à s'informer sur votre situation privé, professionnelle, sur vos activités sportives et sur la manière dont le chiot va vivre chez vous : L'éleveur se sent responsable du chien qu'il va vendre et désire qu'il mène une vie digne d'un husky. Vous pouvez également vous renseignez, par exemple, sur les aptitudes au travail (traîneau...) des parents du chiot, sur le nombre de naissance par an... Un éleveur sérieux donnera le chiot entre 10 et 12 semaines afin d'avoir le temps de socialiser l'animal ect...
- Les petite annonces :
Ces annonces proviennent la plus-part des éleveurs ou de particuliers. Mais méfiances, ces annonces peuvent-être tout à fait honnêtes, d'autres moins; à vous de juger sur place !
Choisir entre un Husky et un Malamute :
Voici quelques informations qui peuvent vous aider à choisir entre le husky et le malamute : Les caracterisques physiques sont differentes (Poids, taille, couleur yeux, tete etc). Le Husky est un chien plus facile à éduquer tandis que le malamute peut etre aussi bagarreur. Le husky est un chien stressé et nerveux tandis que le malamute l'ai beaucoup moin. Parcontre, le husky est moins sensible que le malamute. Le Malamute est moins obéissant que le Husky, et donc plus difficile à éduquer que le Husky. Le Husky court pour tout le monde alors que le malamute court uniquement pour son maitre. Le malamute est difficile en attelage car il y a des conflits avec les autres chiens. Le malamute est aussi tres sensible. Au contraire, le husky est moins sensible et donc plus facile en attelage.
Choisir un chien avec ou sans pedigrée :
Le pedigré est la garentie que votre chien est de pure race. C'est également la condition impérative pour qu'il porte le nom officiel du Husky Sibérien. Sans pedigree, le chien ne peut participer à aucune manifestation cynophile officielle et son maître aura beaucoup de mal à le faire reproduire car les maître de chien de race pure refusent en général d'accouper leur chien ave des chiens sans pedigree. Le pedigree vous offre de meilleur chance pour avoir un sujet qui correspond à sa race sur le plan physique et celui du caractère.
a. L'accueillir :
En arrivant chez vous, le chiot husky a déjà parfaitement inculqué la notion de hiérarchie inculqué par sa mère. Il va assimiler sa famille d'accueil à une meute canine, rapidement repérer le statut de chacun au sein du groupe et y prendre la place qu'on va lui laisser. Si vous lui offrez le rang de chef de meute, soyez sûr qu'il n'hésitera pas à l'occuper. Son premier travail en arrivant va être de tout explorer et de fureter partout. Soyez certain que le moindre recoin de l'appartement sera visité... C'est grâce à cette exploration qu'il va prendre confiance en son nouvel environnement. Il faut néanmoins surveiller ces expéditions, car les chiots ont tendance à mordiller tout ce qui leur tombe sous la dent notamment les fils électriques. Les « coups de blues » provoqués par la séparation du chiot d'avec sa mère et ses frères et soeurs seront inévitables au début. Tranquillisez-le, mais sans exagérer sous peine d'en faire à vie un pleurnichard invétéré. Jouez avec lui dès son arrivée. C'est pour le chiot un moment privilégié qui constitue les toutes premières bases de l'éducation: s'il prend plaisir à ces ébats, il sera prêt à tout pour les obtenir.
b. L'installer :
Dès son arrivée dans son nouvel univers, le chiot doit y trouver son coin à lui, aménagé d'un panier garni d'un coussin, de deux écuelles (une pour l'aliment, l'autre pour l'eau) et de jouets judicieusement choisis. Les paniers en osier sont à éviter, car ils ne sont pas faciles à entretenir. De plus, le chiot prendra certainement plaisir à le ronger, avec le risque d'en ingérer des fragments. Des désordres digestifs en seront alors le résultat. Les os en peau de buffle sont un bon dérivatif pour lui éviter de ronger n'importe quoi, les pieds des meubles, entre autres. De surcroit, de par leur rôle abrasif, ils contribuent à ralentir la formation de tartre.
La balle est un jouet qu'invariablement les chiots adorent. En la lançant pour qu'il vous la rapporte, cela vous permet de partager le jeu avec votre compagnon. Comme pour tous les jouets, choisissez-la dans un matériau suffisamment résistant et n'hésitez pas à la remplacer dès qu'elle commence à se dégrader.
c. Le nourrir :
Quand il aura fini d'explorer l'appartement, il va falloir présenter à votre chiot son premier repas. En effet, il y a de fortes chances pour qu'il ait vidé son estomac dans votre voiture et il doit avoir faim ! Donnez-lui la nourriture que leleveur vous a fournie, afin de ne pas le changer brutalement d'alimentation. Cela pourrait fortement perturber sa digestion et lui provoquer des diarrhées. Dès à présent, ne lui donnez pas de mauvaises habitudes. S'il refuse de manger, ne commentez pas l'erreur d'agrémenter son repas de petits plus attirants, vous le rendriez invariablement difficile. Retirez-lui sa gamelle et représentez-la-lui plus tard, il finira bien par s'alimenter. Il n'y a aucun risque qu'un chiot en bonne santé se laisse mourir de faim !
d. Le coucher :
Lorsqu'il va se retrouver seul la première nuit, séparé du contact sécurisant de sa mère et de ses frères et soeurs, votre chiot va certainement gémir. Deux options s'offrent alors à vous. Si vous ne cédez pas, il vous faudra supporter quelques séances du même style avant que le chiot ne se calme. Si vous le prenez avec vous au lit, vous ne pourrez plus lui interdire plus tard : Il ne comprendrait pas. Vous pouvez adopter un juste milieu en installant sa corbeille au pied de votre lit, cela vous permettra de le calmer avec des paroles rassurantes. Mettez également dans son panier peluche une bien chaude, qui lui rappellera la securité que lui procurait son ancienne fratrie.